Le MASSACRE du 17 mars 2005 !!

[le chef]

Comme personne ne semble se lancer je continue .
Le Maillon Faible doit se rappeller de cette journée EFFROYABLE pour les poissons dans un plan d'eau dont je tairai le nom ( car on y revient) .
Ce jour là 15 degrés , ensoleillé , leger vent d'ouest ( je note tout) avec Le Maillon , le Père Noel , Hou Pinaise et Sylvain , le grand carnage ! 42 kg de carpes , 17 de gardons et un nombre de truites faramineux !

Le récit de cette journée bientot sur ce forum !

[Le Maillon Faible]

Vain diou que je m'en rappelle, je ne cesse de claironner d'arrêter, les poissons étaient plus que fou ce jour là. Oh putain le carnage, une pêche comme jamais on ne refera enfin je pense.

[Le Maillon Faible]

Bon, je débute le récit comme tu es parti prendre l'air marin en charmante compagnie ce week end.

Bien c'est vrai, on peut appeler un massacre.
Ce jour là, départ de bonne heure pour une destination nouvelle, puisque jamais on y avait posé les pieds. (on le Chef n'a pas révélé et dont je ne révélerais pas)
Arrivé trés tôt le matin, nous fîmes un tour du plan d'eau pour admirer les emplacements idéales et surtout de ne pas se trouver trop éloigné les uns des autres. Le Chef prend l'aile gauche (comme c'est bizarre ), puis Sylvain, moi Le maillon et pour finir Le Père Noël sur l'aile droite. Quatre le matin, puis le cinquième Hou pinaise venu nous rejoindre l'aprés midi aprés sa dure journée de labeur.
Enfin, nous montions nos cannes au coup (Le chef, Sylvain et moi même) alors que le père Noël montait son quiver ou plutôt "quibleu" car sa canne et bleu . Un ou deux grain de maïs et hop Le père Noël en piste déja, le quibleu à l'eau, juste réglé, se retourne pour sortir sa canne au coup et là c'est parti le quibleu s'agite, le moulinet déroule, ferrage, combat et hop une carpe au sac.
Ben dis donc ça commence fort aujourd'hui, de ce fait deux nouveaux grains de maïs et hop retour à l'envoyeur dans le même secteur, regle son quibleu et continu à sortir ses bouts de tuyaux de sa canne à coup et hop le quibleu qui s'emballe à nouveau, ferrage, combat, et encore une carpe au sac.
Putain, c'est fou ce matin, deux nouveaux grains de maïs, lancé sur le même secteur encore, juste posé et hop nouveau départ, ferrage, combat, et là, le chef, Sylvain arrête de monter leur canne aux coup et sortent les quiver eux aussi pendant que moi je continuais à monter ma canne au coup. Le père Noël m'étant sa troisième carpe au sac, Sylvain et le Chef avait mis leurs quiver en place et là aussi sans tarder la réponse allait être donné.
Tous au quiver, sauf moi bien sûr, le festival carpe débutait. Enfin prêt, j'amorce un coup à 10 mètres environ, et dix minutes plus tard alors que les carpes s'en donnaient à coeur joie, j'obtiens ma première touche en 8/100. Je ferre et là ça démarre (Mince sûrement une carpe, aïe aïe aïe et puis j'arrive à contrôler le poisson. Je décide d'insister pour voir ce que c'est et là surprise. Ils ont mis des truites, c'est une truite et la première truite arrivait dans la bourriche.

Il y a encore beaucoup à raconter, maintenant j'ai plus le temps mais on vous la donnera la suite plus tard soit moi soit le Chef, mais c'était bien le massacre du 17/03/2005

[Le Maillon Faible]

Les quivers toujours dans leur état de folie par les carpes, on décide de faire une bourriche seulement pour les carpes, et la plus grosse bourriche et celle du Pére Noël. Le bouquet dans cette histoire, c'est qu'à quatre pêcheurs, on avait monté qu'une seule épuisette et la folie du jour des poissons, on se retrouvait deux voir trois à ferrer un gros poisson ou une truite avec 5 à 10 secondes d'intervalle et que la seule épuisette montée était déjà en action donc il fallait maitriser sa prise jusqu'à l'épuisage total du poisson du collègue, pour sauver sa prise à soi. Parfois des grands moments d'inquiètudes, les mains serrés sur les bouts de tuyaux, mais dans l'ensemble notre petit manège permettait aux prises d'avoir une chance supplémentaire de retrouver leur liberté qui fut le cas pour trés peu d'entre elles.
En fin de matinée, les quivers finissaient par se calmer, tous à la canne au coup, les gardons étaient aussi bien présent sur les deux coups amorcés. De trés beaux gardons d'ailleurs qui eux se retrouvaient tous logés dans la bourriche du Chef. Pas aussitôt posé, bing une touche, gardon gardon, gardon, et puis hop une truite, une truite, gardon un incessant défilé de poissons pendus aux hameçons.
Midi sonné, il était l'heure pour nous de plier le matériel pour rejoindre le troquet du coin afin de manger. Car le cormoran, là ou il se pose dans divers patelins de la région, les midis il fréquente le troquet du coin pour un ou deux parfois apéros mais surtout prendre le repas du midi.
Aprés le repas, le père Noël, dû nous quitter. Et oui toujours en activité à cette époque, un coup de téléphone pour des travaux chez des clients, il fallu qu'il retourne à ses chères études ; mais pour compenser son départ Hou Pinaise nous rejoint au plan d'eau et nous nous sommes remis en pleine action de pêche.
L'aprés midi fût énorme aussi. Les carpes sont restées beaucoup plus calme que le matin mais tout de même 5 ou 6 nous ont donné de l'activité. Par contre les gardons aprés un rappel, ont trés vite redonné signe de vie pendant prés de deux heures et ensuite le festival truites débutait.
Chaque ferrage voyait l'arrivée d'une truite et comme le matin quatre pêcheurs et une seule épuisette de montée pour donner leur chance aux poissons.
Hou pinaise ravit de nous avoir rejoint, et trouver le lieu magnifique mais surtout féérique de prendre autant de poissons.
On a dû cesser de pêcher, d'arrêter car les truites trop oppressantes, il n'y avait plus qu'elles sur le coup. 17H, rangement du matériel dans les véhicules et ensuite venait le tour de sortir les bourriches de l'eau. Et bien là je laisserais le soin au chef de vous expliquer la sortie de l'eau des bourriches et notamment celle des carpes. Un grand moment de sollitude mais le cormoran trouve toujours solution à ses problèmes.
Un trés grand moment cette journée, ou il arrive trés peu souvent de tomber sur des journées comme celle ci, ou le poisson est fou mordeur de n'importe quelles esches que tu lui présentes. Une journée marquées à tout jamais dans nos têtes de cormos.

[le chef]

La dedans , bien sur il y a la partie obscure , avec des Cormos , vous vous en doutez bien .

Le matin nous avions pris quelques truites , et à midi , au restaurant chez Odette , nous avons appris qu'il y avait eu un lacher de 50 kg et que depuis l'ouverture il ne s'en était pas pris du tout ! De plus nous avons eu droit à un discours comme quoi la truite arc en ciel était POISON et que c'était un scandale d'en avoir mis . Qu'à cela ne tienne , on va les en débarasser .

En ce début d'aprés midi nous avons donc commencer à grainer des asticots , et au bout d'une heure les truites sont arrivées et de façon frénétique . Le carnage allait commencer , 50 kg qu'il y en avait , au bout d'un temps certain , le Maillon n'arretait pas de crier , stop , arrétez les asticots , on va aller au trou !Finalement nous avons relaché la pression mais il ne devait pas en rester beaucoup de leurs truites poison.
Une pleine bourriche qu'on en avait avec , une pleine bourriche de carpes impossible à lever et une autre avec beaucoup de gardons !
Ce jour là nous leur avons rendu service en éliminant un poisson indésirable : la tac

[Le Maillon Faible]

C'était phénoménale cette journée, penses tu qu'il sera possible de revivre un tel carnage

[Miver]

!
Ce jour là nous leur avons rendu service en éliminant un poisson indésirable : la tac

Et c'est pour ça que vous en mettez à gogo dans votre plan d'eau

[brubru]

Bien sur on a compris comment faire venir les pecheurs.

[le chef]

!
Ce jour là nous leur avons rendu service en éliminant un poisson indésirable : la tac

Et c'est pour ça que vous en mettez à gogo dans votre plan d'eau

Nous on les aime les T A C , mais dans cette petite locali té de Hte Vienne , la Odette qui tenait le restaurant ainsi que les consommateurs locaux nous ont dit que les tac apportaient des maladies et étaient impropres à la consommation , poison .
Nous quand on peut rendre service , nous le faisons . Sacrée tournée des maisons le soir pour la distribution .

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