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l'histoire vrai de la rencontre du chef et des cormorans

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Message  Invité Mar 3 Nov - 19:15

brubru a écrit:Pinot goncourt ne s'ecrit pas comme ça

Ah, bon. Il me semble bien que si..............

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Message  brubru Mar 3 Nov - 19:19

Y a pas une MAJUSCULE Au départ car il me semble bien que c'est le Monsieur qui a donné son nom a la récompense.

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Message  Invité Mar 3 Nov - 21:27

brubru a écrit:Y a pas une MAJUSCULE Au départ car il me semble bien que c'est le Monsieur qui a donné son nom a la récompense.

Ca vient des freres Jules et Edmond de Goncourt

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Message  Invité Jeu 5 Nov - 7:25

burgou a écrit:L’histoire vraie de la rencontre du chef et des cormorans.

Il est une région dans l’ouest de la Haute-Vienne où l’homme a poussé l’industrialisation à son comble. Chaque mètre carré de sol regorge de métaux lourds et autres substances nocives. Le paysage est essentiellement constitué de cheminées vomissantes et de cuves remplies de liquides gélatineux d’où émergent de récurrentes, lourdes et grasses bulles nauséabondes. La vue est obstruée en permanence par un épais brouillard de particules blanchâtres et corrosives que seuls des équipements spéciaux, presque spatiaux, parviennent à contenir. Toute sorte de vie biologique est devenue impossible depuis de nombreuses années déjà.
Et pourtant ! C’est dans cet univers plus qu’hostile que des scientifiques émérites ont cherché à savoir si certaines espèces animales auraient pu survivre.
Improbable me direz-vous ? pas si sûr !

Nous étions en plein mois de juillet, aux alentours de 15h30 par une belle après-midi ensoleillée (on pouvait tout au moins le penser car la visibilité atteignait 3 bons mètres !). Le professeur Soury, de l’institut national de recherche sur les formes de vies en milieux hostiles, déambulait, protégé par une épaisse combinaison intégrale, à la recherche de la moindre trace de vie. C’est alors qu’il entendit un bruit sourd qu’il attribua en premier lieu à l’explosion de quelque cuve de matières chlorées. Mais en y prêtant plus attention, il se rendit compte que le bruit n’avait rien de chimique. Il avait même l’impression de le connaître, de l’avoir déjà vécu hors de ce lieu. Il chercha donc à s’approcher au plus près de son origine. Il tourna à gauche, puis prit un chemin sur la droite et au bout de quelques mètres crut apercevoir une sorte de véhicule duquel le son s’échappait. Oui, c’était bien un véhicule, un fourgon même, et le bruit ressemblait à des paroles humaines. Non ! pas ici ! c’est impossible ! Tout en tremblant, il s’approcha de la porte arrière du fourgon, reteint son souffle au maximum et trouva d’on ne sait où le courage de tourner la poignée. De grosses perles de sueur coulaient sous son casque intégral quand il tira la porte. Et là, ce qu’il vit le figea : deux êtres, humains d’apparence, étaient là, devant lui. L’un d’eux se tourna vers lui et lui hurla tout en brandissant un réceptacle de verre : « Allez l’cosmonaute, viens-y donc goûter à mon noâ ! ».
Le professeur Soury avait en face de lui deux humains qui semblaient vivre ici tout à fait normalement. Ils n’avaient aucune protection particulière sur le corps ! Ils semblaient ne pas souffrir et paraissaient même heureux. En fait, hormis une apparente faiblesse mentale et un goût prononcé pour un breuvage que même les analyses les plus poussées n’ont jamais permis d’identifier, peu de choses pouvaient différencier ces deux hominidés de véritables hommes.
Le professeur ne comprenait rien mais l’excitation de sa découverte le poussa à aller encore plus loin. Il demanda d’une voix tremblante : « qui êtes vous, d’où venez vous ? »
Le premier homme portait un chapeau, arborait de splendides bacchantes et tenait à la main un verre à demi rempli d’un liquide trouble. Il toisa le professeur et lui dit : « ola l’cosmonaute, tu veux pas qu’on te cause sans qu’t’aies bu un coup avec nous quand même ! ». Puis il prit un verre qu’il essuya avec son mouchoir, le remplit et le tendit au nouvel arrivant.
Le professeur ne savait plus quoi penser. Il était partagé entre le souhait de fraterniser et la peur d’enlever son casque pour trinquer. Mais après tout si les deux énergumènes avaient réussi à survivre pendant des années, pourquoi quelques minutes sans protection lui seraient fatales… Le professeur ôta donc lentement son casque, reteint sa respiration le plus longtemps possible puis à bout de souffle inspira une bouffée d’air ambiant. Une odeur de chou trop cuit envahit alors ses narines et ses yeux se mirent à pleurer. Puis il commença à se gratter furieusement les cheveux et il pensa un instant qu'il était en train de bruler. « Pouah ! » cria t-il, « comment faites-vous pour rester ici ? »
« T’inquiètes donc pas » lui répondit le deuxième individu, « ça va te bruler les yeux pendant quelques heures et puis tu finiras par t’habituer ». Ah oui, le deuxième individu….comment pourrions nous le décrire....c’est un gars tout maigre, de très petite taille, à l’âge incertain, et armé de deux yeux globuleux qui vous fixent avec insistance.
Le professeur, les yeux rougis, prit le verre qui lui était toujours tendu et le porta à ses lèvres.
Le liquide ne resta que quelques secondes dans son estomac. Son goût était tel qu’il prit immédiatement le chemin inverse pour se répandre sur le sol, accompagné dans son périple par quelques bribes du repas de midi.
« Ben alors, c’est quoi c’te mauviette ! » rigola le premier homme. « c’est pourtant pas fort, c’est qu’du noâ ! »
« Du quoi ? » répondit le professeur qui avait maintenant l’impression de bruler aussi de l’intérieur.
« Ben merde alors….y connaît pas l’noâ ! » «mais y a goûté quand même, ça doit être un bon gars l’cosmonaute ! » « c’est quoi ton nom ? » demanda le moustachu.
« Soury….Eric Soury » bafouilla le professeur.
« Moi, c’est Tournanron ! et le petit là c’est Brubru ! » rétorqua t-il en assénant à ce dernier une bourrade dans le dos qui le fit avancer de 3 bons pas. « On cassait une croute avant d’aller à la pêche ! tu veux un bout d’fromage ? les souris ça aime …le fromage ! » et les 2 compères partirent dans un fou rire qui dura, qui dura…..
Le professeur Soury, malgré son métier austère était un personnage épicurien et les plaisanteries à 2 sous ne le rebutaient pas, bien au contraire. Et même s’il l’entendait pour la 1000ème fois de sa vie, il acquiesça cette boutade d’un sourire généreux. Les douleurs physiques lui semblaient même plus supportables depuis quelques instants.
Brubru lui demanda alors : « C’est quoi ton métier pour que tu sois fringué comme ça ? »
« Je suis professeur, chef d’un bureau d’études sur les formes de vies en milieux hostiles »
« Chef ? t’entends ça Tournenron ! il est chef le cosmonaute ! »
Puis, s’adressant au professeur : « nous les chefs, c’est pas notre truc, mais toi t’as une bonne bouille, on veut bien te causer ». Et c’est vrai qu’il avait une bonne tête le professeur. Il avait l’œil pétillant et ce coté rondouillard qui adoucit immédiatement toute tentative d’autorité.
« Tu pêches toi ? » questionna Tournenron.
« Heu….non ! enfin j’ai péché un peu quand j’étais gamin, comme tout le monde. J’attrapais des gardêches, des goujons...j’allais aussi aux écrevisses…mais ça fait bien longtemps que je n’ai plus.. »
« Ben t’as qu’à venir avec nous, ça te rappellera quand t’étais souriceau !» le coupa Tournenron pendant que Brubru pouffait de rire en sautillant tel Philippe Bouvard après une chute graveleuse de Bigard.
Le professeur Soury accepta l’invitation, sans vraiment savoir s’il agissait au nom de la science ou tout simplement parce qu’il se sentait bien avec ces 2 gars pourtant si éloignés de ses fréquentations habituelles.
« Allez, grimpe dans le fourgon, on t’emmène avec nous. Y’a les copains qui doivent déjà y’être ! ».
« Ah, parce que vous n’êtes pas les seuls à vivre ici ?» demanda le professeur.
« ben non, y en a d’autres ! » répliqua Tournenron.
« Et ils sont…..comme vous ? enfin je veux dire….l’acide, le brouillard, l’odeur…comment ils font ? heu…. » Eric Soury n’alla pas plus loin. Ses yeux rougis croisèrent ceux de Brubru qui le fixaient avec intensité. Il lui sembla tout à coup se retrouver en face du leader des « yam » dans le film « la vangeance d’une blonde ».
« Raconte pas de conneries le Chef, tu verras toi-même » rétorqua le petit homme.
A l’arrière du fourgon qui l’emmenait vers un lieu inconnu, le professeur pensait. l songeait à sa vie jusqu’alors faite de séminaires, de congrès, de tout ce temps passé enfermé dans des laboratoires. Il commençait même à se demander si les 2 gaillards qui l’accompagnaient n’étaient pas plus dans le vrai que lui. Ces quelques kilomètres de réflexion allaient être un tournant décisif dans la vie du professeur…..

Le fourgon roulait maintenant depuis une dizaine de minutes au milieu des fumées opaques et nauséabondes. Le périple se passa sans encombre, hormis lorsque Tournenron se mit à crier « Merde le Chat ! ….Mais quel con ce greffier ! » puis « heureusement qu’on a pris le camion du grand pêcheur ! » et Brubru qui enchaina « Et puis le grand pêcheur, il est habitué à porter le chapeau ! un de plus un de moins…». Cette dernière réplique provoqua chez Tournenron des soubresauts d’hilarité qui faillirent transporter véhicule et passagers dans le fossé. Heureusement, il se ressaisit à temps et récupéra le contrôle du camion.
Ce dernier arrivait maintenant à proximité du cimetière de la localité. Il changea alors de route et le professeur parvint à lire sur le panneau indicateur gris de fumée la direction prise : Chaumeix.
Moins d’une minute plus tard, le fourgon se gara en bordure d’un réceptacle rempli d’eau gluante.
« V’la notre étang » s’écria Tournenron.
« Ah, parce que… vous appelez ça un étang ? vous ne pêchez pas la dedans quand même ? »
« Tu vas voir si on n’y pêche pas » répliqua Brubru. « Tiens les copains ont déjà déplié ».
Effectivement, une dizaine de personnages de tous âges attendaient visiblement l’arrivée de nos 2 compères. Ils étaient rassemblés autour d’une table sur laquelle étaient entreposées moult victuailles…jambons, pâtés, rillettes, fromages, et surtout de nombreuses bouteilles qui semblaient contenir le même breuvage que celui qui avait failli immoler le professeur un quart d’heure auparavant !
Quant aux présumés pêcheurs, essayons de vous en décrire quelques-uns :
Tout d’abord le propriétaire du camion, surnommé « Le grand pêcheur ». la cinquantaine bien tassée, un chapeau de paysanne vissé sur la tête, un air sympa quoi qu’un rien moqueur.
A ses cotés, tenant un morceau de saucisson dans une main, une tartine de rillettes dans l’autre et un verre de noâ coincé entre les genoux le nommé « zoinzoin », un rondouillard à casquette.
Ensuite nous trouvons « la Boulange », un petit gabarit à béret qui lorsqu’il n’est pas à la pêche, et d’après les informations fournies par Tournenron « passe son existence dans le lit de filles plus jolies les unes que les autres ». Le professeur, lui trouvant une ressemblance avec Brubru demande s’ils ne sont pas frères, ce à quoi Tournenron répond « coté physique, on peut les confondre, mais le jour où tu verras une poule tourner autour de Brubru… » .
A coté de La Boulange, se tient un petit barbu hirsute, un peu sauvage. Il ressemble un peu à une volaille qui serait restée toute une journée sous la pluie « C’est le Boubou » lança Tournenron. « Lui, c’est un bon ! »
Puis ce sont 2 affublés de lunettes en pendentifs, un peu précieux, tous deux porteurs de noms étranges : Poum, et Le maillon faible.
Et pour finir celui qui semble le plus posé, presque timide, le seul qui ait un nom civilisé : Denis.
« Les gars, on vous amène du beau monde aujourd’hui », lança Brubru, « un chef ! j’sais pu de quoi, mais c’est un chef de quelque chose ! »
« Ah ouais ? et tu crois que ça sait pêcher un chef ? y’a qu’à lui passer une canne et on va voire comment il se débrouille, le Chef ! » dit le grand Pêcheur en appuyant fortement sur la dernière syllabe.
« Mais avant » insista Tournenron « tu reprends un peu de mon noâ, ça t’fera voire des touches même avant qu’t’ais mis la ligne à l’eau ». Pour ne pas vexer ses hôtes, le professeur crû bon d’accepter tout en sachant que pour la seconde fois de la journée sa gorge et son estomac allaient fondre. Il avala donc le breuvage « cul-sec », et contre toute attente ce dernier décida cette fois de rester en place. Par contre il se mit immédiatement à transpirer si fort qu’il dut arracher sa combinaison afin de trouver suffisamment de fraicheur pour assurer sa survie. Au 3ème verre, il n’eut plus aucun effet secondaire, et à compter du 4ème il trouva même ça bon !
Tournenron tout ravi qu’il était d’avoir converti un non initié à son breuvage, regarda sa montre et incita tout le monde à prendre place pour ce qu’il appela « un entrainement ». Car tous ces gars là sont des pêcheurs de compétition, des vrais, avec du matériel dernier cri, des esches secrètes, des martingales…
On prêta donc une canne, une ligne, 1 paquet d’amorce et quelques asticots au professeur Soury et au coup de corne toutes les lignes furent mises à l’eau sans retard. A peine quillé, son flotteur s’enfonça. Il ramena un joli gardon. Il remit et pan ! la même chose. Tous étaient capots, sauf le professeur qui avait maintenant une bonne vingtaine de gardons. Pourtant, tous ses voisins semblaient sereins. Aucune inquiétude sur leur visage.
Malgré tout le professeur, fier de ses prises qui continuaient à s’entasser dans le fond de sa bourriche, ne put s’empêcher de lancer à la volée quelques allusions déplacées sur les soi-disant pêcheurs de compétitions…bref il chambrait à tout va !
15 minutes de plus passèrent, alors que le professeur Soury sortait son 30ème gardon tout en sifflotant « we are the champions », son voisin de gauche « zoinzoin » ferra de toutes ses forces et tel Blaireau dans « ni vu ni connu » treuilla jusqu’au tablier en moins de 2 secondes une carpe de 4 kgs ! D’un coup, le professeur ne sifflait plus. 2 minutes plus tard, c’est son voisin de droite, La Boulange qui ferra à son tour et en moins de temps qu’il en faut pour le dire, une magnifique commune de 15 livres se retrouva dans les mailles de sa bourriche.
Au bout de 2 heures de pêche et après la pesée, le résultat fut annoncé devant un Xème verre de noâ : 1er Zoinzoin avec 15000 points, 2nd La Boulange 7500 points, 3ème Boubou 5000 points, 4ème Brubru 4500 points, 5ème Le Professeur 1800 points et tous les autres capots !
Eric Soury trouva la pêche plutôt…rustique. Mais le noâ excellent ! Il était maintenant entièrement nu et marmonnait des phrases incompréhensibles du genre « la proch…fois…j’vous pourris…ha ha ! ha ha ha ! » ou encore « mon p’tit toumarron, tu sais qu’tu m’plais bien toi…hein…j’t’aime bien mon toumarron… ». Bref ! Eric Soury, dit Le chef était heureux !
L’histoire raconte qu’il revint dès la semaine suivante tremper à nouveau le fil, puis il décida de laisser tomber pour de bon son métier trop prenant, il s’installa définitivement au milieu des retombées chimiques, se pacsa avec Tournenron et partagea ensuite son temps entre bugeade et compétition.
Je crois même que c’est encore aujourd’hui le cas.

FIN

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Message  Le Maillon Faible Jeu 5 Nov - 8:35

Vraiment superbe ton histoire Burgou, je pense qu'on va l'imprimer, monter un genre de petit livre et la distribuer à tous les compétiteurs des Cormorans pour la saison 2010. ça serait pas mal comme idée et surtout comme petit livre de chevet. Very Happy
Quelle inspiration Burgou Very Happy l'histoire vrai de la rencontre du chef et des cormorans - Page 2 619133

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Message  Guignandon Jeu 5 Nov - 9:40

BURGOU

Que du bonheur l'histoire vrai de la rencontre du chef et des cormorans - Page 2 727525 l'histoire vrai de la rencontre du chef et des cormorans - Page 2 727525 et l'histoire vrai de la rencontre du chef et des cormorans - Page 2 619133 l'histoire vrai de la rencontre du chef et des cormorans - Page 2 619133
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Message  PINOT Jeu 5 Nov - 12:17

c'est clair que ca change des recits pourris du chef.
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Message  Invité Jeu 5 Nov - 18:18

Merci, Burgou. Tellement réaliste !!!!

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Message  le chef Ven 6 Nov - 7:16

Trop fort , trop bon , extra !'l'histoire vrai de la rencontre du chef et des cormorans - Page 2 699202')][/ul'histoire vrai de la rencontre du chef et des cormorans - Page 2 699202rl]
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Message  le chef Lun 30 Déc - 7:54

Et oui c'était le bon temps !!!! l'histoire vrai de la rencontre du chef et des cormorans - Page 2 586179 l'histoire vrai de la rencontre du chef et des cormorans - Page 2 586179 
Nous savions nous amuser .  l'histoire vrai de la rencontre du chef et des cormorans - Page 2 586179 l'histoire vrai de la rencontre du chef et des cormorans - Page 2 586179 l'histoire vrai de la rencontre du chef et des cormorans - Page 2 586179 
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Message  le chef Mar 16 Oct - 6:26

Jean François , c'était ça , un gars avec un humour fantastique , et il répondait toujours avec . IL nous a fait rire d'innombrables fois sur ce forum , à Chaumeix ou ailleurs . Je garde en mémoire une de ses victoires à Saillat ou il enquillait les carpes en montant sur sa station car son élastique était un peu long , un grand bon moment dans un éclat de rire général .
Souvent quand une personne nous quitte , nous avons tendance à enjoliver sa vie , là ce n'est pas le cas , Jean Francois était un type extraordinairement bien , et pour en avoir discuté avec des membres de sa famille à la pharmacie , ils le confirment tous . C'est pour cela que son décés nous peine autant .
Ses plaisanteries , son rire et sa bonne humeur vont nous manquer terriblement . Mais si il existe un paradis des pêcheurs , c'est sur il y est .
Au revoir Burgou .
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Message  le chef Mar 16 Oct - 6:35

En me relisant , je viens de me rendre compte qu'en peu de mots j'ai mis le mot : RIRE , trois fois , sans doute parce que Jean Francois dans ma tête c'est ça .
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