Re: La prophétie de Mons !!!

[le chef]

Pinochiov apprenant l'évasion , resta étonnement calme , il avait compris tout ce qu'il pouvait en tirer . Ses ordres étaient stricts , il ne devait jamais pénétrer dans le village des fous , sauf en cas de raison impérieuse . Là vu que les fugitifs allaient s'y réfugier , il pouvait attaquer . Cependant un doute l'assaillait , pourquoi ce village faisait il si peur , une légende pensa t'il . Et puis il disposait de 3000 soldats aguerris , 25 véhicules blindés et 3 hélicoptères d'attaque au sol . En face ils devaient y avoir 500 ou 6OO habitants en comptant femmes , enfants et vieillards , des culs terreux mal dégrossis pensa t'il .
Il passerais à l'offensive à l'aube .
A Maisny Bostok , le soir tombé Poumkine commençait sérieusement à s'inquiéter , il levait le nez et reniflait comme un chien de chasse , des histoires racontent qu'il pouvait sentir un ennemi à 2km , d'habitude jovial , l'absence de sa fille le taraudait . Persuadé qu'il lui était arrivé quelque chose , il rassembla ses lieutenants . Bessov , un psychopathe avec une moustache à la d'Artagnan qui ne se séparait jamais de son énorme gourdin ( cela peut aussi se mettre au pluriel car il était monté comme un poney ) . Ferchov , autre psychopathe qui ne pensait qu'à faire des bosses . Et Jujulk la montagne , son nom vous renseigne sur son physique , d'une force herculéenne mais excellent compagnon .
Poumkine leur ordonna de rassembler les hommes et de descendre vers la ville dans la vallée . Ce sont une centaine d'irréductibles tchétchènes qui se mirent en marche .

[Guignandon]

Encore une fois chapeau chef


                         

[Le Maillon Faible]

Va finir au Prix Goncourt Le Chef   

[brubru]

Je fais une "compil" va falloir envoyer à un éditeur ou meme imprimer pour tous les détendeurs de carte des Cormorans.   

[le chef]

Poumkine et ses hommes descendait la montagne avec une vitesse et une agilité déconcertante , physiquement ils étaient hors normes . D'un coup PoumKine s'arrêta , il reniflait , oui c'était bien sa fille qu'il avait senti , elle était proche , par contre une autre odeur la suivait , celle d'un homme , et cela ne lui plaisait pas du tout .
Les retrouvailles furent émouvantes , Magalioska raconta tout dans les moindres détails . A la fin , elle dit :"les russes veulent la clé " Boulangev compris qu'il avait vu juste et que c'est ce village qui possédait ce mystérieux objet . Il compris aussi que le Chef Poumkine ne l'aimait pas quand ce dernier s'exclama : " et le gringalet là , on en fait quoi ? "
Magalioska prit sa défense en disant que c'était aussi grâce à lui qu'elle s'était libérée .
Poumkine avait l'air ahuri mais en réalité c'était un chef remarquable , il décida qu'il fallait résoudre le problème russe sur le champ avant qu'ils ne réagissent et il renvoya sa fille et son compagnon au village .
Le lever était à 5H3O dans l'armée russe , ils attaqueraient donc à 4H30 , la surprise serait totale .

[le chef]

A Urus Martan , le Général Pinochiov  passait la nuit en compagnie d'une jolie rousse pulpeuse de 22 ans que ses hommes lui avaient amené , mais il était fort mécontent car la fille était vraiment encore trop droguée et il avait l'impression de faire l'amour à un morceau de viande . Dans ses rêves , il se voyait déjà en train de remettre à Poutine cette clé bizarre et obtenir de l'avancement .
4H30 les hommes du village des fous étaient à la périphérie ouest de la ville , au pied de la montagne , c'est là que stationnait l'armée russe . Poumkine donna ses ordres , Ferchov , Bessov et leurs hommes devaient liquider les fantassins , pas de quartier avait il précisé , tout au plus en laisser fuir quelques uns pour raconter et entretenir la légende . Jujhulk lui devait s'occuper des véhicules blindés et des hélicoptères .
Les hommes de Bessov avait tous de lourds gourdins ,et ceux de Ferchov de grands couteaux ou même parfois à mains nues , comme invisibles il pénétrèrent les rangs russes et un effroyable massacre commença , en silence dans un premier temps avec juste le crac des cranes qui explosaient ou des vertèbres qui se brisaient , quand l'alerte fut enfin donnée ce fut la débandade , les villageois se déplaçaient tels des fantômes et pourtant à un contre 30 ils étaient les maitres de la bataille .
Juulhulk renversait les véhicules blindés à la main avec 2 de ses hommes comme des fétus de paille , il étaient comme les gaulois d'Astérix doués d'une force surhumaine , arrivés près des hélicos qui commençaient à décoller ,Jujhulk se saissit d'un énorme câble en acier qu'il mania comme une canne à mouche pour l'étendre au dessus des appareils , il le laissa tomber sur ceux ci et dans un fracas de tonnerre et de feu , le câble s'entortilla dans les rotors , hommes et appareils périrent .
Pinochiov compris rapidement qu'il devait fuir pour échapper à la tuerie , il se déguisa en paysan et quitta la ville en catimini .
Tout était fini , seul les hommes de Poumkine restaient victorieux sur le terrain .  

[Le Maillon Faible]

Heureusement que tu bossais aujourd'hui pour avoir la suite   

[le chef]

Les éditions c'est quand je corrige les fautes et les répétitions , car écrire entre 2 clients pas toujours facile .   

[brubru]

il y en a qui on de la chance d'avoir le temps d'écrire de belles histoires, moi j'ai encore bossé aujourd'hui.   

[brubru]

Les éditions c'est quand je corrige les fautes et les répétitions , car écrire entre 2 clients pas toujours facile .   

Surtout si dans le texte tu glisses une ordonnance. On va pas tout comprendre............... 

[le chef]

Ce pauvre Pinochiov : Dissous !!!!! 

[le chef]

CHAPITRE 4 . SUR LES TRACES DU CENTURION JAYUS .

Le soleil venait de se lever dans le beaux pays des feuillardiers , tous les participants au banquet avaient un peu mal à la tête . Le jeune Burgou  allait mettre son plan en application , il allait faire chanter Avril . Il l'interpella et le prit à part , il lui expliqua qu'il savait qu'il fricotait à l'extérieur de la forêt et qu'il allait le dire au seigneur Raffier . Avril se mis à trembler car il craignait non seulement la colère du seigneur mais plus encore celle de ses "associés" de la Sansasss .
La Sansasss était une drôle de société secrète, mi secte , mi loge maçonnique et 100 % prête à tout pour toujours gagner sur tous les tableaux , elle regroupait des gens de tout horizon mais qui n'avaient qu'un but s'élever au dessus des autres . Ses membres étaient recrutés par cooptation et ils devaient obtenir l'unanimité des autres membres . Avril y était rentré depuis peu et il devait faires ses preuves, alors ce chantage tombait bien mal .
"Qu'est ce que tu veux ?" annonça t'il froidement à Burgou . Ce dernier compris que son coup de poker était bon , il avait bien deviné . "Je veux voir le monde !" lui répondit il .
Avril en bon manager savait comment faire pour tirer partie d'une situation , il retourna le chantage à son profit et proposa alors un marché à Burgou . La société avait fait l'achat récemment d'un manuscrit très ancien en partie en latin et il fallait le traduire , les Feuillardiers toujours moyenâgeux connaissait bien cette langue qui était toujours enseignée dans leurs écoles et Burgou le plus intelligent d'entre eux , le plus apte à effectuer ce travail . Si il réussissait , il pourrait alors visiter le monde au frais de la Sansasss .
Burgou sûr de lui accepta , il venait de s'embarquer dans une bien dangereuse aventure !

[le chef]

Le manuscrit lui fut livré une semaine après par deux gorilles tous secs , deux frères qui s'appelaient Kiki 1et 2 , complètement taciturnes , le regard glacé et lugubre , avec sous leur veste un gros renflement sous le bras gauche qui prouvaient qu'ils étaient lourdement armés . Ils devaient surveiller la totalité de l'opération traduction .
Burgou ouvrit la grosse mallette blindée avec traqueur satellite et il sortit religieusement le précieux manuscrit . Il fut sidéré de constater que celui ci était en une sorte de papier , ce qui était impossible vu l'époque à laquelle il était supposé être rédigé , il pensa alors que la Sansasss s'était fait avoir .
Le texte commence ainsi : Moi Centurion Jayus et mon aide de camp le légionnaire Simonius avons parcouru le profond orient pour rechercher des alliés pour notre commandant des forces romaines Claudius Marcellus dans sa guerre contre Carthage . Burgou féru d'histoire antique connaissait Marcellus , général Roman du 2ème siècle avant JC , à cette époque , les romains gravaient la pierre et les égyptiens écrivaient sur papyrus , point de papier . Mais quelle était donc cette embrouille . Il s'en émeu auprès d'Avril et Karkass qui venaient d'arriver . Ces derniers lui confirmèrent que la datation de ce papier au carbone 14 montrait bien qu'il avait plus de 2000 ans . Le mystère s'épaississait . Burgou se lança à tout crin dans la traduction .

[Le Maillon Faible]

En attendant, Le Chef n'a plu le temps d'écrire la prophétie de Mons, tant les cartes de pêche se bousculent au comptoir de l'officine   

[le chef]

Effectivement , je suis désolé pour cet intermède , une préparatrice en moins et gros de cartes de pêche font que je n'ai plus le temps d'écrire du tout sur le forum . Pourtant j'embauche à 7h . Je suis frappé par la maladie des artisans cormorans sans doute . Mais : vive le travail !!

[le chef]

Je vais peut être embaucher "un nègre" ? Miver se propose !!! 

[Super Jeannette]

En attendant, Le Chef n'a plu le temps d'écrire la prophétie de Mons, tant les cartes de pêche se bousculent au comptoir de l'officine   

Tu dis ça car tu n'y as pas encore eu droit toi... Car moi je dis vive les cartes de pêche !  

[Le Maillon Faible]

En attendant, Le Chef n'a plu le temps d'écrire la prophétie de Mons, tant les cartes de pêche se bousculent au comptoir de l'officine   

Tu dis ça car tu n'y as pas encore une droit toi... Car moi je dis vive les cartes de pêche !   

Doit pas parler français la Super Jeannette, serait-elle coupée de Rom     

[Guignandon]

Tu parles maillon , elle a hiberner pendant deux mois avant que le cerveau se remettre en circulation il va falloir du temps     


                                                       

[le chef]

Les deux Romains Jayus et Simonius , avaient été choisis , non pour leur bravoure ou leur habileté aux armes , mais pour leur capacité à se fondre dans les populations locales ou encore pour leur habitude à survivre en milieu hostile . Marcellus leur avait confié un médaillon qui avait été rapporté par un soldat d'Alexandre Le Grand qui avait dépassé les rives de l'Indus et découvert bien plus loin une magnifique civilisation très avancée . Ce médaillon devait leur permettre de se faire connaitre et ainsi de ramener de multiples secrets .
Ils mirent trois mois sur un trajet bien périlleux pour atteindre les rives de l'Indus et encore trois mois avec bien des péripéties pour arriver dans la fabuleuse civilisation des Mons . Burgou  traduisait avec passion cette épopée aux patrons de la Sansasss , mais ceux ci étaient indifférents , manifestement c'était la suite qui les intéressait .
Jayus était passé centurion grâce à sa débrouillardise et le fait qu'il était prêt à tout pour la victoire , il avait ainsi conquis un poste avancé Perse qui bloquait l'armée romaine en faisant passer sa cohorte par une immonde mare à cochons . Surprenant ainsi des ennemis bien supérieur en nombre . C'était un soldat fidèle à ses convictions , à ses hommes et à ses chefs .
Le pays Mons l'émerveillait , des villes bien construites , avec une salubrité irréprochable , des voies bien entretenues , et des prodiges pour l'époque tel l'éclairage public , les habitants semblaient jouir dune infinie santé et d'une longévité hors du commun . Leur armée avaient des armes terribles , et leurs soldats étaient dotés d'une force herculéenne . Bref , ils avaient atteint leur but . Ils demandèrent donc à s'entretenir avec le monarque local , non sans avoir revêtu leurs uniformes d'apparat de l'armée romaine .
Ils allaient rencontrer l'immense roi : GUIGNANDELOR !

[Super Jeannette]

En attendant, Le Chef n'a plu le temps d'écrire la prophétie de Mons, tant les cartes de pêche se bousculent au comptoir de l'officine   

Tu dis ça car tu n'y as pas encore une droit toi... Car moi je dis vive les cartes de pêche !   

Doit pas parler français la Super Jeannette, serait-elle coupée de Rom     

C'est bon j'ai changé bande de moqueurs !

[mandrin]

Jeannette exaucée . Guignandelor sur le gril. MDR .

[le chef]

S'en suivait dans le manuscrit une longue description de sa lumineuse et grandissime magnifiescense Guignandelor , le plus grand roi des Mons  , manifestement il avait impressionné les deux soldats de Rome .
Il était de taille moyenne et il ne ressemblait pas aux autochtones avec leurs yeux bridés , on aurait plutôt dit un lusithanien ( portugais à notre époque) avec de grandes moustaches et une pilosité importante , quand il parlait sa voix retentissait dans tout le palais et terrorisait les serviteurs . Il portait un couvre chef en cuir rond orné de pierres précieuses , rubis émeraudes et diamants . Il avait autour du coup de magnifiques colliers d'or et d'argent . Grand amateur de femmes il se disait qu'il en changeait tous les jours et qu'elles repartaient comblées pour le restant de leur vie . Le plus souvent il festoyait de tout , cependant il avait une profonde aversion pour ce qu'aujourdhui nous appelons lardons . Il avait fait empaler un cuisinier coupable de lui en avoir servi . Il était malgré tout resté proche de ses sujets .
D'ailleurs , son peuple le respectait et l'admirait pour sa trouvaille de la fermentation alcoolique . Depuis avec tout ce qui était sucré les Mons produisaient des boissons alcoolisées que tous consommaient fortement .
Il n'aimait pas les étrangers, mais Jayus et Simonius lui inspiraient de la bienveillance, d'abord parce qu'ils lui avaient montré le médaillon du soldat d'Alexandre , médaillon confié par un ses lointains ancêtres qui attestait que le porteur était digne de confiance et peut être aussi parce qu'ils appréciaient enormément les boissons servies et qu'ils semblaient en tenir le choc .
Guignandelor ,  entre deux verres qui lui déliaient la langue , allait révéler l'extraordinaire secret de son royaume .  

[le chef]

Guignandelor avait largement dépassé la dose , et il racontait une histoire inimaginable. Il y a 2500 lunes , alors que les Mons étaient misérables et réduits en esclavage , les dieux étaient descendus du ciel dans un chariot de feu . Ces dieux étaient chauves à la peau grise et les yeux rouges , le dieu suprême était boiteux et s'appelait Ioule . Les premiers Mons sur place furent surpris par les propos inconsistants du dieu et étonnés par les dégâts subis par son chariot. Néanmoins ils se prosternèrent devant les prodiges réalisés .
Ioule et les deux autres chauves , Ganpech'eur et Pairnowel disaient venir d'une terre au delà des étoiles nommée Artise dont les habitants s'appelaient les Artisans . Ils avaient connu une grave avarie de leur vaisseau alors qu'ils transportaient clandestinement une substance rarissime source de toute énergie .
L'atterrissage avait été rude ; aussi les Artisans demandèrent aux Mons de les aider , en échange ces derniers seraient instruits , et auraient accès à plein de secrets : huile de roche , la poudre , le papier , etc . Ils leurs offrirent également une baguette antigravitationnelle , pointée sur un objet , ce dernier n'avait plus de poids . Les Mons travaillèrent dur , découvrirent de nouveaux métaux , créèrent de somptueuses forges , cultivèrent des substances bizarres , et petit à petit le vaisseau à Ioule fut réparé

[le chef]

Ioule était inquiet , car malgré les réparations , il avait perdu le "bandeau" une sorte de régulateur qui assurait la stabilité du vaisseau lors des accélérations . L'appareil risquait donc d'exploser au décollage . Les Mons ne comprenaient pas toutes ses explications , ils apprirent que les Artisans ne prendraient pas le risque d'emporter leur mystérieuse cargaison , car si cela explosait toute cette partie de la galaxie serait dévastée . Et si ils aimaient le profit ce n'étaient pas des criminels . Ils ne mettraient pas en jeu la vie de millions d'individus .
Leur butin resterait donc sur terre , et si la chance leur souriait , il le récupèrerait plus tard . Mais il fallait prendre de multiples précautions pour qu'il ne tombe pas en de mauvaises mains ou que les terriens ne puissent s'en servir avant d'avoir atteint une grande maturité technologique .
Pairnowel avait toujours une solution pour toutes les situations . Il enferma donc la matière noire dans un champ de force qui pompait son énergie au sein même de cette matière , il était donc infranchissable et éternel . Pour l'ouvrir il faudrait une clé qui contenait un peu de cette substance et un code qui fut gravé sur une pierre d'obsidienne . Les Mons voulurent aussi faire une carte qui serait écrite dans la langue des Artisans , carte inutile pour eux car les champs énergétiques étaient facilement repérables par leurs technologie depuis l'espace . Des émissaires furent envoyés pour cacher clé et code quelque part sur la planète .
Après une gigantesque fête , avec des adieux déchirants car les Artisans laissaient de nombreuses femmes enceintes et éplorées , Ioule avait décollé sans encombre !  Mais jamais il ne revint .
Guignandelor racontait cette fin avec les yeux plein de larmes ; car Ioule était un de ses ancêtres .

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