Re: Effacement des écluses !

[le chef]

Ce matin les riverains de la Gorre sont venus me voir pour me demander pourquoi ça coulait grave , ils croyaient que c'était La Pouge qui avait été ouvert , et je me faisait les mêmes remarque que Wolverine ??
Je me disais que dans ce pays , l'égalité de traitement on s'en tamponne , si vous êtes puissants vous avez sans doute tous les droits ???? Et j'étais colère grave !!!!


En plus j'ai merdé je viens de voir le gars du Popu et j'ai oublié de lui demander comment faire passer un article dans le journal !!!

[DUDU]

Ce matin les riverains de la Gorre sont venus me voir pour me demander pourquoi ça coulait grave , ils croyaient que c'était La Pouge qui avait été ouvert , et je me faisait les mêmes remarque que Wolverine ??
Je me disais que dans ce pays , l'égalité de traitement on s'en tamponne , si vous êtes puissants vous avez sans doute tous les droits ???? Et j'étais colère grave !!!!


En plus j'ai merdé je viens de voir le gars du Popu et j'ai oublié de lui demander comment faire passer un article dans le journal !!!

La pelleteuse et arrivée ! A limon on vous envoie nos sédiments !

[mandrin]

Enfin Mandrin , tu avais mission de nous représenter à la pêche de sauvegarde , et tu n'y as pas été !!! Si le Maillon apprend ça , tu vas nous rejoindre dans la charrette des condamnés !

Allez houst, dans la carriole le Mandrin avec les autres

Voir le malheur, la désolation et l'irresponsabilité ne m'intéresse pas et me dégouté. Pour ces raisons je suis resté maison.

[brubru]

Et augmentation des cartes de peche pour 2020

[le chef]

Je me suis fait sermonner hier par un pêcheur qui m'a reprocher l'effacement de l'écluse du Pont de Gorre !! Il m'a dit que nous aurions du faire une pétition et une manifestation devant la mairie de Rochechouart .
Et effectivement il a malheureusement raison !!

[le chef]

Prochainement , l'écluse au dessus de Limon et sur la Graine : Chez Pezeau !!!
Pour info , celle du Pont de Gorre n'avait pas du tout de vase , fond sableux . Une merveille : DEFUNTE ! Merci aux incompétents !

[brubru]

J'en connais une sur la Gorre pas prete d'etre détruite, car bien cachée et totalement hors d'accès.

[le chef]

[le chef]

Ils persistent !!!
Et pour supprimer des milliers d'hectares drainés ? 
On gagne quoi ?

[brubru]

Rien comme d'habitude

[le concombre masqué]

Ils n'ont rien d'autres
À financer
Que leur connerie

[LE HOBBIT]

Par décision rendue ce jour sur une requête introduite par mon Cabinet pour le compte notamment de France Hydro Electricité, de la Fédération Française des Associations de Sauvegarde des Moulins – FFAM, de la Fédération des Moulins des France – FDMF, de l’Association des Riverains de France – ARF et d’Hydrauxois, le Conseil d’Etat vient d’annuler l’article 1er du décret ministériel du 3 août 2019, qui avait durci la définition de l’obstacle à la continuité écologique prévue à l’article R 214-109 du Code de l’environnement.

Pour mémoire, à compter de la date d’entrée en vigueur de ce décret porté par la Direction de l’Eau et de la Biodiversité/Ministère de la Transition Ecologique et Solidaire, étaient notamment considérés comme un obstacle à la continuité écologique, dont la construction est interdite sur un cours d’eau classée en Liste 1 au titre de l’article L 214-17 du Code de l’environnement :

- Tout ouvrage en lit mineur d’un cours d’eau d’une hauteur supérieure à 50 cm, qu’il barre ou non l’ensemble de la largeur du cours d’eau, à la seule exception des ouvrages à construire pour la sécurisation des terrains de montagne pour lesquels il n’existe pas d’alternative,

- Tout ouvrage de prise d’eau ne restituant à l’aval que le débit réservé ou débit minimum biologique une majeure partie de l’année,

- Toute remise en état d’un barrage de prise d’eau fondé en titre notamment, dont l’état actuel pouvait être considéré comme ne faisant plus obstacle à la continuité écologique.

Ce décret condamnait une part majeure du potentiel de développement de l’énergie hydraulique en sites nouveaux et en rénovation sur des sites existants, dont une grande part est située sur les cours d’eau classés en Liste 1, et par ailleurs condamnait un nombre conséquent de moulins anciens à une démolition « naturelle » et inéluctable de leurs ouvrages dont la remise en état était interdite.

Conformément à ce que nous avions soutenu en requête, le Conseil d’Etat a notamment retenu que le Gouvernement ne pouvait valablement considérer :

- Qu’un ouvrage en lit mineur présentant une hauteur de 50 cm au moins est nécessairement un obstacle à la continuité écologique au sens de l’article L 214-17 du Code de l’environnement.

Rappelant ses décisions adoptées au titre des deux précédentes tentatives de définition restrictive de la continuité écologique réalisées par circulaires ministérielles partiellement annulées de 2010 et 2013, le Conseil d’Etat confirme qu’un tel critère absolu ne peut légalement être retenu, la loi ainsi que les débats parlementaires prévoyant que le critère d’obstacle à la continuité écologique doit être apprécié au cas par cas.

A ce titre, la méconnaissance par la Direction de l’Eau et de la Biodiversité de la loi, de la volonté du législateur et enfin de la jurisprudence du Conseil d’Etat est sanctionnée.

- Que la restitution à l’aval d’un ouvrage de prise d’eau du seul débit réservé ou débit minimum biologique serait nécessairement un obstacle à la continuité écologique, dans la mesure où – précisément – le débit minimum biologique prévu à l’article L 214-18 du Code de l’environnement a pour objet de permettre de garantir la vie, la circulation et la reproduction du poisson.

A ce titre, la méconnaissance de la loi par la Direction de l’Eau et de la Biodiversité est également sanctionnée.

L’ensemble de ces dispositions étant liées, le Conseil d’Etat annule dans le même temps le II. de l’article R 214-109 du Code de l’environnement qui concernait la remise en état des barrages de prise d’eau fondés en titre.

Cette décision, qui est sans recours, est d’application immédiate.

Dans ces conditions :

- Les dispositions de l’article R 214-109 du Code de l’environnement modifiées par le décret du 3 août 2019 cessent de produire effet à compter de ce jour.

- Toute décision administrative fondée sur les dispositions de l’article R 214-109 du Code de l’environnement en vigueur depuis le 3 août 2019 et jusqu’à ce jour est entachée d’illégalité, son annulation pouvant être sollicitée devant le juge administratif si le délai de contestation court toujours ou encore si un recours a déjà été engagé.

Dans les autres cas (délai de recours dépassé ou recours déjà jugé définitivement), il est possible de saisir le Préfet d’une demande de retrait de la décision qui serait fondée sur ces dispositions au visa de l’article L 243-2 du Code des relations entre le public et l’administration.

- Il est à nouveau possible de déposer une demande d’autorisation environnementale pour la création et/ou la modification d’un ouvrage hydraulique sur un cours d’eau classé en Liste 1, sous réserve que le projet ne soit pas de nature à constituer un obstacle à la continuité écologique, cette existence d’un obstacle à la continuité écologique devant à nouveau donner lieu à une appréciation au cas par cas.

Pour conclure, il est précisé que le recours formé par la Fédération Nationale de Pêche ainsi que France Nature Environnement, qui visait l’article 2 du décret (création d’un nouveau cas de cours d’eau atypique pour les cours d’eau de type méditerranéens) est quant à lui rejeté."

[le chef]

C'est bien compliqué , j'en retiens qu'il est donc possible de repousser toute les conneries pseudo écologiques que l'on voudrait nous faire avaler !
Des enfants qui faisaient un petit barrage de plus de 50 cm sur un rigaillou , avant ce recours pouvaient être condamnés ?

[le concombre masqué]

Suis agent territorial
Tous ces articles
Qui contredisent
L'autre
Ça me fait mal
A la tête

[le chef]

POUR CEUX QUI DOUTENT QUE NOUS SOYONS EN CONTACT AVEC LE SYNDICAT DES ETANGS !!
COPIE DE LA REPONSE DU SYNDICAT AU POPULAIRE .
Monsieur le Directeur,
Dans un récent article vous avez fait état de l’opinion des Professeurs TOUCHART et
BARTOUT au sujet du « combat » que Sources et Rivières du Limousin (SRL) prétend
mener contre les étangs sur le sujet de l’évaporation estivale et vous écrivez in fine
que lors de la parution de votre précédent article (consacré à cette attaque) le Syndicat
des propriétaires d’étangs du Limousin n’avait pas souhaité répondre à Sources et
Rivières du Limousin.
En fait, l’écrit de cette association comprenait des références présentées comme
scientifiques : celles-ci postulaient donc un examen qui ne pouvait être immédiat.
Quant aux imputations dirigées contre le Syndicat, je n’ai pas voulu tomber dans le
piège d’une polémique : ceux qui nous sont proches, connaissant la loyauté de notre
action et la modicité de nos moyens, ont pu mesurer la fausseté, la malveillance et le
ridicule d’une imputation qui nous qualifie de « lobby » et nous prête le pouvoir
d’infléchir dans notre intérêt l’application des règlements et les études universitaires...
L‘accusation portée contre les étangs (non pas seulement contre les étangs privés
irréguliers auxquels SRL fait mine de limiter son hostilité, mais aussi, de fait, contre
tous les étangs réguliers ou non, privés et publics, les lacs...) est d’aggraver par leur
évaporation, les méfaits de la sécheresse. Les organisations représentatives des
propriétaires d’étangs ont déjà eu l’occasion de réfuter ce grief, en expliquant
notamment que l’évapotranspiration du sol et des végétaux qui occuperaient la surface
des étangs supprimés ou celle qui précédait leur création, était ou serait plus
importante, sans présenter pour autant la nocivité alléguée.
Récemment, en 2017, la thèse de doctorat d’un universitaire d’Orléans, M.
ALDOMANY, a confirmé scientifiquement cette opinion. C’est donc contre lui que la
« plaquette » de SRL a dirigé ses flèches. Les directeurs de cette thèse, MM Touchart,
Professeur, et M. Bartout, Maître de Conférences HDR, l’ont défendue et vous en avez
fait état dans un article du 28 janvier. Maintenant, dans votre numéro du 6 février, vous
relatez la réplique de SRL qui tente de faire dériver la discussion vers un autre sujet,
mais maintient sa contestation des calculs de M. Aldomany relatifs à l’évaporation,
l’accusant d’une « action partisane » menée « à des fins politiques » sous le prétexte

2
que l’auteur conteste « le dogme de l’administration française qui préconiserait
l’effacement des petits plans d’eau » ... Après cela d’ailleurs, SRL se défend de tenir
un « rôle primaire... anti-étangs ». L’affirmation est audacieuse mais présente
cependant le mérite involontaire de l’humour.

Cela dit, il faut revenir au sujet :
Votre article du 2 novembre, inspiré de la « plaquette » était, en première page, intitulé
« plus d’étangs ; moins d’eau » : ce titre reprenait l’accusation portée par SRL contre
les étangs d’avoir « une responsabilité importante dans les épisodes de sécheresse
actuels, sans répondre aux besoins en eau des activités humaines » en ajoutant que
« l’évaporation des étangs représente en moyenne 85 % des consommations totales
d’eau du bassin de la Vienne médiane ».

SRL prétendait se fonder sur des études...qui présentaient ce caractère commun de
ne posséder aucun caractère démonstratif, de ne procéder directement d’aucune
observation réelle au sujet de la question ainsi posée. L’un des écrits cités, par
exemple, consacré au bassin de la Vienne médiane, utilise pour le calcul de la
« surévaporation » des étangs (la différence entre l’évaporation et l’évapotranspiration
lorsque celle-ci est inférieure à celle-là) une base qui semble ne concerner que
l’évaporation, et qui par là au moins est lourdement inexacte (l’auteur prétend se
référer à la Safege, mais on verra que cette référence est inadaptée). Surtout, il affirme
que l’évaporation des étangs représenterait 85 % de la consommation totale de l’eau
(confondant cette évaporation avec les usages domestiques, urbains, industriels,
agricoles) ! ... « Chiffre impressionnant » écrit SRL. Certes, et même Incroyable... Et
pour cause : Si, comme l’auteur, on assimile l’évaporation des étangs à une
« consommation d’eau », il n’y aucune raison d’exclure du calcul toute autre surface
soumise à évaporation, liquide ou solide et surtout la surface, considérablement
supérieure à celle des étangs, des sols végétalisés avec leur importante
évapotranspiration. Le résultat serait apparemment si différent que celui qui est avancé
ne présente aucune valeur... Par ailleurs cet écrit, pour ses bases de calcul, de même
que SRL, se réfère à la Safege (un bureau d’études de Suez). Le rapport établi par
celle-ci sur commande d’une collectivité publique concernait le bassin de la Sarthe où
les étangs sont très différents de ceux du Limousin et qui, utilisant elle-même des
indices et des formules théoriques en provenance de tiers, sans observation ni
mesures propres concernant ne serait-ce que l’évaporation, reconnaissait « un
manque de données (de ses rédacteurs) sur le fonctionnement des plans d’eau ».
La discussion sur la portée des écrits invoqués par SRL pourrait se poursuivre... mais
sans autre résultat en faveur de celle-ci, que de démontrer qu’elle ne démontre rien.

Par contre, la supériorité quantitative de l’évapotranspiration sur l’évaporation trouve
des preuves multiples. Aux spéculations présentées par SRL s’opposent des études
récentes dont les références théoriques sont nombreuses, mais qui proposent

3
essentiellement des observations de la réalité, qui les font entrer dans le champ des
certitudes :
Il en est ainsi de la thèse de M. Aldomany, soutenue en 2017. Elle fait l’objet, dans le
pamphlet de SRL que vous avez relaté, d’une multitude de critiques juchées sur la
prétention au magistère de la méthodologie scientifique. M.M. TOUCHART et
BARTOUT ont pertinemment répondu en rappelant notamment les garanties
universitaires dont elle est entourée. En ce qui nous concerne, nous nous bornons
modestement mais fermement, à constater d’une part que cet ouvrage a été lu,
examiné, jugé par divers scientifiques, principalement des professeurs d’Universités
différentes, même étrangères, d’autre part qu’il est le résultat de plusieurs années de
travail et de longs mois de mesures et d’observations pratiquées sur deux étangs, l’un
dans la Brenne, l’autre en Haute-Vienne (celui-ci étant choisi pour ses caractéristiques
-situation, dimensions ...- communes à la plupart des étangs limousins), les résultats
de cette observation, quant à l’évaporation, étant confrontés à l’application de multiples
formules théoriques. La comparaison entre l’évaporation de l’étang limousin avec
l’évapotranspiration accrue de l’interception des eaux de pluies d’un bois de chênes
de même surface, montre que celle-ci n’est pas inférieure à celle-là, et qu’elle est
même supérieure. L’auteur estime même que l’évapotranspiration d’une prairie
humide est très supérieure.

Plus récemment, un long article rédigé par quatre Universitaires d’Orléans, M.
TOUCHART, Professeur, M. BARTOUT, Maître de Conférences HDR, tous deux
limnologistes largement reconnus, M. ALDOMANY et M.CHOFFEL. Cet article a été
publié en janvier 2020, aux « Annales de Géographie », par les Editions A.COLIN. Il a
fait l’objet des examens divers qui garantissent, avec la personnalité des auteurs, son
authenticité scientifique. Il est le résultat, à son tour, d’une observation de plusieurs
mois, au moyen de mesures quotidiennes, en Haute-Vienne, sur, d’une part un étang
en eau, lui aussi typique des étangs limousins, d’autre part la surface comparable d’un
étang rompu, couverte de végétation spontanée, situé à un Km de distance. Ces
constatations établissent à leur tour, que l’évaporation de l’un est nettement inférieure
à l’évapotranspiration de l’autre.

Mais encore...nous nous référons à une étude pratiquée par nos confrères du
SYPOVE (Syndicat Poitou-Vendée), rapportée en 2011, dans un cadre plus large, par
son Président d’alors, le Dr Perrin. Elle relate les observations d’un adhérent sur son
étang des Deux-Sèvres, faites au cours des deux étés 2008 et 2009. Les mesures de
l’évaporation ont été relevées par le propriétaire lui-même. Celles de
l’évapotranspiration, se rapportant à une prairie de gazon (et non à des plantes
aquatiques), calculées sur des bases théoriques, ont été fournies par la station météo
la plus proche. Il en résulte que l’évapotranspiration est nettement supérieure à
l’évaporation.

4
Ces trois études (dont les deux premières propres aux étangs limousins) ont, sur les
références théoriques et indirectes le mérite de procéder de longues observations
directes de la réalité.
L’évidence est donc établie en ce sens et ne permet pas d’adresser aux étangs les
griefs qui leur sont faits à ce sujet, et qui omettent d’ailleurs leur rôle de réserves d’eau
et de refuges, en période de grande sécheresse, à la biodiversité aquatique. Il n’est
pas vrai que les étangs aggravent la sécheresse et que leur suppression en diminuerait
les effets.
Voici, Monsieur le Directeur, notre réponse différée par diverses circonstances, que
nous avons développée par ailleurs à l’intention de nos adhérents.
Nous vous prions d’agréer l’assurance de notre considération distinguée.

Le Président,

Serge BARRY

Copie Monsieur Olivier CHAPPERON,

[brubru]

Je vais etre obligé de prendre une demie journée pour tout lire.

[pissedru]

Guignols aux bras longs

[mandrin]

Tu ne dois pas être Jean Jacques, car aux heures où tu passes, je JJ il dort.

[pissedru]

Ça te gêne ?

[Le Maillon Faible]

Formidable ce forum, toujours actif 24h sur 24. Il y a toujours une personne connectée même aux heures les plus tardives de la journée, comme quoi le confinement nous donne raison

[jules lamouche]

Le chef est un visionnaire. 
Je ne sais plus dans quel discussion où pour défendre les étangs, il indique l'effet terriblement destructeur des drainages. 
Et bien ce forum doit être la bible des idées, la sainte parole des Cormorans, alléluia, alléluia.
Cramponnez vous : une campagne de suppression des drainage pour restauration des zones humides va voir le jour sur le plateau.
Alleluia alléluia....

[Le Maillon Faible]

Le Chef c'est un prophète

[le chef]

Je retire ce que j'ai dit, l'effacement des écluses ça marche.

Les tracteurs commencent à remonter

[Guignandon]

Il y’a des fous furieux dans vôtre pays
Il vas marcher moins bien

[le chef]

C'est aussi ton pays , c'est à la Forge !!!

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